Le portique libertin
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il y a 10 ans
Le portique libertin
Auteur : ? Un texte des groupes détruits par yahoo
Pour me venger des humiliations que m’ont infligées mes cousines, je les ai fait punir par la femme de chambre. Mon cousin Jean-Marc et son copain Roro l’ont découvert et, aidés par son grand frère, ils m’ont fait chanter, et même jouir, ce soir...
Après ces émotions, je retombe au fond du hamac en reprenant mon souffle… Ils s’immobilisent.
- Alors, les mecs, vous avez vu ça, elle marche pas si mal, la méthode à Jean-Claude ?
Entrouvrant les yeux, j’observe son membre, à l’horizontale, qui me semble énorme dans sa tenue de combat noire en latex. J’en ai encore le fort goût de menthe à la bouche.
- C’est clair, elle est toute trempée de la chatte ! s’exclame son cadet dans mon dos.
- On va voir ça tout à l’heure…
C’est cela, oui, je vais les laisser faire leurs cochonneries sur moi…
- Et toi, Jean-Marc, t’as pas eu besoin de mettre de l’huile, ça glisse, hein ?
Je baisse les yeux. Mon cousin, debout, tient son sexe dans sa main, précautionneusement, torse nu, le bermuda sur les chevilles. Il ressemble bien au grand dadais de 19 ans qu’il est, et qui vient juste de sortir de sa crise d’adolescence boutonneuse… Il a le regard chafouin, souvent une expression de surprise sur le visage, un grand front surmonté d’une épaisse chevelure roux foncé. Il dégouline de la tête aux pieds. Dernier détail, un bout rougi dépasse de sa main.
- T’as qu’à croire, wah, c’était chaud, trop bon, entre ses seins, là…
- Et t’as même pas juté, mon cochon ? interroge Jean-Claude.
Horrifiée, je devine le sens de sa question. Et puis quoi encore, il n’allait pas oser faire ça quand même !
- Ben, non. Faut dire que… répond Jean-Marc, les yeux baissés et l’air gêné.
- Ben non, quoi ?
- Déjà deux fois aujourd’hui, en pensant à elle, je… enfin, bon, juste…
- Ah ! Petit branleur, va ! Tant mieux, remarque, comme ça, ce soir tu tiens super bien la distance.
Quelle honte, il lui fait maintenant la promotion de la masturbation ! Quel être dépravé que ce Jean-Claude ! Je le détaille maintenant, c’est un garçon brun, grand et sec, il semble flotter dans sa chemise hawaïenne grande ouverte sur son torse maigre. Il a sur les genoux ce qui semble être un slip de bain violet… Son visage est tout en longueur, avec un grand nez épaté, de grandes oreilles, et des poches sous les yeux qui lui donnent un air timide et craintif. Pourtant il ne craint pas avec moi ! Ses lèvres charnues et épaisses, presque féminines, adoucissent nettement son visage..
- Bon, c’est pas tout ça, on se refroidit. Place toi sur elle, reprend-il.
Mais Jean-Marc face à moi et Roro dans mon dos, suivent tous les deux la consigne dans l’instant, et leurs deux jambes s’entrechoquent violemment au-dessus de mon ventre !
Surpris chacun par le geste brusque de l’autre, ils se mettent à se lancer des bordées de jurons, l’un se plie en deux de douleur, l’autre s’effondre sur l’herbe en se prenant la jambe à deux mains, et en me flanquant un coup de genou dans le flanc ! Je tombe à terre lourdement. Seul Jean-Claude est encore debout, il se tient les côtes, plié en quatre de rire… Je profite de la situation pour me faufiler hors de portée de mes ravisseurs et me lancer vers la maison à toute vitesse !
- Oh p… les mecs, la p’tite biche se casse !
Je les entends tous les trois qui, la stupeur passée, se précipitent à leur tour, et je déboule dans le jardin. Que la maison est loin !
J’entends leurs souffles sur mes talons et soudain, CLAC !, une douleur large et cuisante monte de mes fesses. Je fais un écart et poursuis ma course désespérée, car l’un des trois m’a donc rattrapée et vient de me claquer la fesse, à la main ! Une autre claque magistrale me soulève carrément de terre, dans un cri je perds l’équilibre et m’affale. Je me relève aussitôt et me réfugie dans le potager, de l’autre côté de la haie. Cette haie sépare le potager de la partie du jardin qui sert de terrain de jeux. J’ai les fesses, les joues et les poumons en feu…
Les garçons s’arrêtent, me barrant le chemin vers la maison et riant entre eux, à peine essoufflés :
- Elle trottine, la mignonne ! Tiens, voilà mon p’tit boulet qui arrive !
- Pff ! soupire ce dernier, la respiration saccadée.
- Tu as raté quelque chose, Roro ! T’aurais vu comme je lui ai claqué ses p’tites fesses blanches ! Et deux fois de suite !
C’est donc mon propre cousin qui m’a fessée en pleine course. Tout dans les jambes, rien dans la tête, c’en est dramatique !
- Et ses p’tits seins tout frais, qui ballottaient, mmh, ça valait le coup d’œil ! ajoute Jean-Claude. Bon, on va la coincer, notre perdrix blanche. Tiens, je prends une badine, j’vais lui couper le sifflet si elle passe à ma portée ! Jean-Marc, tu passes par la barrière, et toi, Roro, tu l’attends à l’autre bout de la haie, vers le bois. Moi, je la guette si elle traverse au milieu…
A-t-il parlé volontairement assez fort pour que je l’entende ? Ma décision est prise, leur point faible, c’est Roro, je compte bien le distancer et m’enfuir vers le fond du jardin et le petit bois du hamac. Courbée, je longe la haie en silence aussi rapidement que possible. Je prends un grand bol d’air et je me jette à corps perdu dans la fuite !
Aïe ! En fait c’est Jean-Claude qui a remonté la haie, et qui me talonne ! Je parviens à lui échapper de justesse en contournant la table de ping-pong, mais il poursuit son effort, un grand sourire aux lèvres, en brandissant sa badine en l’air dans de sinistres sifflements !
Tchac ! Oh c’est affreux, il vient de me toucher à la fesse gauche, ça pince très fort, je fais une feinte puis un écart vers le portique, mais il se maintient à mes côtés, à petites foulées, et me menace clairement en levant le bras :
- Gaffe à tes seins !
- Non !
Je fais demi-tour en croisant les bras sur mes seins pour les protéger, ce qui me ralentit encore dans ma course folle. Tchac ! Cette fois, c’est la cuisse droite qu’il a visée et cinglée ! Je dérape sur l’herbe humide devant le portique, complètement affolée. Le temps que je me relève, il a le temps de me fouetter posément le postérieur de long en large, Tchac ! et je me jette droit contre… mon cousin ! Dans l'‘élan, j’abats mes poings et mes seins sur son torse brûlant. Lui referme ses bras autour de moi, et PLOC ! PLOC ! me flanque deux coups de battoir sur les fesses ! Chancelante, je jette un œil en arrière : le vicieux s’est muni de deux raquettes de ping-pong, avec lesquelles il vient de me tanner les fesses !
Anéantie, je le laisse me pousser sous le portique, puis il me place les mains sur les anneaux, et me referme les doigts sur eux en me chuchotant à l’oreille :
- Si tu bouges, je t’attache aux anneaux toute la nuit.
Je me cramponne désespérément aux deux ronds métalliques. Je dois offrir un drôle de spectacle, moi, la jeune fille modèle, avec mes cheveux châtain coiffés en carré long, qui me tombent dans les yeux, les tétons saillant sur mes petits seins, et mes menues fesses cramoisies, nue, en sueur, livrée à ces deux sadiques !
- Le premier qui la fait crier ! Suggère maintenant Jean-Marc
Jean-Claude répond en me cinglant sèchement le bas des fesses : je gémis sourdement. De sa raquette, Jean-Marc me claque la fesse à plat dans un grand mouvement tournant : je ne dis rien. Jean-Claude reprend la main et la badine, et me fouette cette fois les reins ; je râle de douleur. Mon vicieux cousin ponctue odieusement par « Regarde le lift !» son méchant coup, donné de bas en haut, qui me brûle vivement le postérieur. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper un jappement.
- Oh quel geste, bravo ! Commente Jean-Claude, alors que je tente de reprendre mes esprits.
Il se colle à moi par-derrière, je sens son slip de bain et ses cuisses dans mes reins. Il plaque ses mains sur mon minou et l’écarte en douceur pour y plonger ses doigts. Je frémis sous ses lentes caresses, je pose mes mains sur ses avant-bras, il sait exacerber mes sens, et même si mes fesses sont en feu, ma chatte et mes yeux débordent de larmes.
Roro vient seulement de nous rejoindre, lui aussi armé d’une raquette. A l’âge de Jean-Marc, il est nettement plus petit et plus rondouillard, il a de bonnes joues et le regard un peu bovin…
- Moi aussi, j’saurais la faire crier, promet-il en crachant par terre.
Non, ça suffit, me dis-je en moi-même.
- Ah ouais, et comment, p’tite bite ?
Sous l’insulte, Roro blêmit, puis claque sa raquette contre mon sein, me faisant sursauter et rompant le charme des caresses de son frère. Puis il la fait glisser lentement vers mon autre sein. Le revêtement irrégulier de plastique dur m’irrite et me fait grimacer. Il atteint mon autre sein avec le tranchant de la raquette, je frémis, il poursuit la reptation de la raquette. Le tissu rêche est contre mon téton, il a l’air de s’en moquer et appuie très fort son mouvement de raquette qui me racle le téton et une partie du sein ! J’y porte mes mains en hurlant, en décollant du sol, tandis que Jean-Claude le repousse d’une forte bourrade.
- T’es vraiment trop c…, des fois, un vrai boulet !
Puis il continue, s’adressant à moi en me massant le sein douloureux :
- On a bien mérité une petite récompense tous les trois, on s’est dépensés tous ensemble, hein ! Moi ce sera ta p’tite chatte toute chaude, pour Jean-Marc une petite gâterie…et pour toi, le cochon pendu !
Qu’est-ce que cette histoire ?
- Et moi ? demande Roro.
- M’prends pas la tête, toi ! T’aurais même pas été foutu de la rattraper, alors ta gueule ! crie Jean-Claude, tout en me faisant basculer le dos contre son torse et en me soulevant par les fesses. Puis il me passe les jambes dans le trapèze ! Il les rabat de l’autre côté de la tringle, et il me relâche tout doucement. Me voilà la tête en bas, les mains à quelques centimètres du sol. Le sang me descend à la tête, m’étourdissant un peu…
Jean-Claude s’assied sous moi et me prend la tête et les épaules dans ses bras en douceur. Puis il me soulève, visage vers le ciel, fesses vers la terre, et me place le front contre le short de Jean-Marc ! Celui-ci ne se fait pas prier et baisse la fermeture éclair de son bermuda. Je sens déjà son membre qui se raidit contre mes cheveux…
Jean-Claude me pose le cou au creux de son coude gauche, et me caresse la tempe de sa main droite. Puis insensiblement sa main descend vers mes petits seins qu’il réchauffe en souplesse, puis me taquine le ventre et l’aine, avant de remonter vers mon buisson, qu’elle pénètre une nouvelle fois. Cette main experte me parcourt la chatte, sa paume s’attarde aux abords de mon petit bouton de fièvre, pendant qu’un majeur avide sépare mes lèvres collées par l’humidité qui règne dans mon minou, avant d’effleurer ma porte du plaisir. C’est alors qu’il porte sa bouche sur la mienne et sa langue effleure mes dents ! Plus qu’émoustillée par ses caresses, je réponds à ce baiser, qu’il abrège pour me lécher les seins et sucer mes tétons !
Je me sens envahie par un plaisir diffus, j’écarte les jambes sur le trapèze, je me laisse aller, la tête en arrière, les yeux fermés, la bouche entr’ouverte, toute concentrée sur ces sensations si douces, bercée par ces attouchements directs et légers à la fois, les succions sur mes seins maintenant tout excités et tendus…
Il me retient de moins en moins la tête, qui pend en arrière, si bien que le sexe humide de Jean-Marc me frôle maintenant la joue.
- Ouvre-toi de partout, me chuchote Jean-Claude, me faisant basculer encore un peu plus en arrière.
J’ai maintenant la tête à l’envers. Cette fois j’ai les cuisses de Jean-Marc contre mon front, et son sexe sur les lèvres ! Etonnée de ma propre impudeur, je ne bouge pas, quand le doigt de Jean-Claude pénètre d’un coup ma fontaine ruisselante. Je lâche un Oh ! de surprise dont mon cousin profite pour s’enfoncer doucement dans ma bouche. La sensation est saisissante, cette fois-ci, ça y est, je le parcours doucement de ma langue, en teste la consistance entre mes lèvres. Je trouve finalement cela très excitant…
- Ne t’enfonce pas plus, laisse-la aller à son rythme, c’est ça le truc, lui murmure Jean-Claude, elles te suceront pendant des heures si t’y vas cool.
Ma parole, il a tant d’expérience que ça, le Jean-Claude, avec les filles ?
Je passe et repasse ma langue sur le bout du sexe de Jean-Marc qui se cabre à certains passages. Intéressant… Puis il joint ses mains sous ma nuque pendant que Jean-Claude se détache de moi et de mon minou… Je me demande « Et maintenant ? », tout en flagellant, dans un lent ballet, le bout du membre de Jean-Marc, qui d’après ses gémissements extatiques, a l’air d’apprécier ce traitement !
Jean-Claude réapparaît à l’intérieur du triangle formé par mes cuisses et la barre du trapèze ! Maigre comme il est, il parvient à passer les épaules, et il profite de sa position pour frotter délicieusement son museau à mon minou trempé… Puis il concentre ses mouvements de langue sur mon bouton qu’il butine allègrement, et après avoir délicatement tâté le chemin, il enfonce ses deux pouces en moi, l’un devant, l’autre plus bas, en arrière, m’arrachant un sursaut. Mais l’action conjuguée de sa langue et de ses doigts a tôt fait de me faire replonger dans mon délire sensuel. Oui, délire, pensez que la tête à l’envers, je suce mon vicieux de cousin pendant qu’un autre grand « bouseux » me tient en tenaille tout en me léchant le minou !
Le grand Jean-Claude se retire d’ailleurs, passe tout son torse dans l’espace et par un mouvement de traction des bras sur les cordes, s’assied entre mes genoux, sur le trapèze, puis place ses cuisses sous mes fesses. Il saisit ces dernières à pleines mains, me soulève et me repose sur lui, en position plus favorable pour ce qu’il envisage de faire maintenant : je sens bien son sexe dressé verticalement contre ma chatte !
Oh mon D…, non, il ne va pas m’embrocher comme…
Si ! Dans un long gémissement, il a tordu son long sexe, que je sens brûlant malgré le latex, pour le me présenter et s’est enfoncé délicatement en moi. Il commence à donner des coups de reins, en équilibre sur le trapèze, les mains serrées sur mes hanches, me pénétrant bientôt jusqu’à la garde. Son membre résonne en moi et réveille des désirs refoulés et totalement primaires. J’ai de plus en plus de mal à sucer Jean-Marc, dont le sexe m’humidifie la langue de plus en plus, comme une pompe dont j’aurais activée la mise en marche…
La raison en est que l’esprit ailleurs, haletante, je tangue et balance désormais au rythme de Jean-Claude, qui me laboure intensément… C’est affreux comme c’est bon, je ressens comme des étincelles dans le ventre et dans les reins, je me sens chaude et accueillante, j’accompagne les coups de reins de Jean-Claude en serrant spasmodiquement mes cuisses autour de sa taille… tandis que ses coups de boutoir me font coulisser les lèvres, comme naturellement, autour du sexe de Jean-Marc, blême à force de serrer les dents, lui.
Nous voilà très bien partis… quand Roro refait surface et brise la montée en puissance de mon orgasme latent :
- Et moi, j’me mets où ?
Jean-Claude a du mal à répondre, lui qui a d’habitude la réplique si facile… !
- Parce que tu veux la mettre ? Mmh, amène-toi, lèche-lui la chatte, par là, et t’auras qu’à lui demander de te branler…
Il me pose effectivement une main sur son sexe, court mais large, et sa langue sur le début de ma fente toute féminine. Je me sens pareille à une corde de violon ou de harpe, étirée à son maximum, cette nouvelle caresse me fait encore décoller. Cependant Roro a d’autres idées en tête, et il m’enfourche avec la subtilité d’un hippopotame pour se retrouver tête-bêche par rapport à moi, tourné vers son frère trapéziste, qui poursuit son effort, et offrant le spectacle de ses fesses dodues et de son dos à Jean-Marc, qui lui a l’air d’avoir dépassé sa vitesse de croisière...
J’ai maintenant l’impression d’être un brancard sur lequel est assis Roro, soutenue à l’avant par le sexe de Jean-Marc, fourré dans ma bouche, et à l’arrière par Jean-Claude qui me pistonne sans discontinuer…
Roro prend en main mes petits seins, qu’il a martyrisés tout à l’heure. Il les plaque autour de son sexe et commence à donner de petits coups de reins dans des halètements porcins.
Il compte vraiment les utiliser comme objet sexuel, l’enc…
Et voilà que leur langage détone sur le mien !
Mes mains libres remontent le long de ses hanches grassouillettes, puis je suis surprise de lui trouver des seins assez formés, presque féminins… Vicieuse, je lui agrippe les tétons et les tortille d’abord gentiment, puis de plus en plus durement. Le rythme de ses grognements s’accélère, et il se met carrément à couiner quand je commence à lui griffer les tétons, qu’il doit avoir très sensibles ! Lui non plus n’est plus très loin du sprint final, je décide de frapper un grand coup.
J’écarte les lèvres autour du membre de Jean-Marc tout en léchant la hampe de haut en bas, et de fait il sort de ma bouche, comme involontairement. M’accrochant toujours aux seins de Roro, ma langue descend le long du sexe de mon cousin et finalement ma bouche happe ses bourses !
- Aaah ! fait-il , étonné de mon audace.
Je les suce doucement, et referme mes lèvres à leur base, comme pour en extraire le doucereux contenu. Puis je les attire en baissant la tête vers ma poitrine, faisant avancer tout le bassin de Jean-Marc, sexe compris, vers Roro tandis que je tire Roro en arrière par les seins, comme il m’avait menée dans sa salle de bains. Les deux idiots ne résistent pas le moins du monde…
Jusqu’à ce que le sexe bandé de Jean-Marc se colle entre les fesses de Roro. Je les tiens à ma merci, seins bien en mains et bourses bien en bouche, et je passe la vitesse supérieure, menant les deux copains à la baguette et faisant coulisser le sexe de l’un dans les fesses de l’autre à un rythme d’enfer. Ils râlent tous les deux comme des porcelets, incapables de se défaire du piège sexuel dans lequel ils sont tombés !
Roro pousse un miaulement aigü de possédé (!), Jean-Marc pousse un grand cri lorsque je sens un spasme énorme lui parcourir tout le corps, tandis que Jean-Claude finit en trombe et laisse éclater bruyamment sa jouissance. Sentir les puissantes pulsations de son membre en moi me procure un dernier frisson d’extase. Je me sens fière et accomplie… Nous nous écroulons tous à terre, les uns sur les autres…
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